Ressorti il y a peu sur le XBLA en mars dernier et bientôt disponible …sur le PSN (hum laul ?)… je n’ai pu résister à me le reprendre pour redécouvrir ce jeu magnifique. Mes souvenirs de ce jeu étaient, en tout cas, vraiment très bons et il fallait que je reconfirme tout cela (l’excuse). Ce fut donc avec beaucoup de nostalgie que je me suis replongé dans Beyond Good & Evil, en version HD s’il vous plait !
CARLSON & PETER !
Découvert pour la première fois en 2003 (à nowel), Beyond Good & Evil est un jeu qui a bercé mon adolescence et que j’ai recommencé maintes et maintes fois à l’époque. L’histoire m’avait séduite (merci môssieur Michel Ancel) tout comme ses personnages charismatiques et terriblement attachants. Certes le titre n’était pas forcément original mais ce qu’il faisait, il le faisait bien. Mélange subtil entre jeu d’action et d’infiltration dans lequel le joueur incarne une reporter, il avait tout pour plaire et connu pourtant un semi échec commercial. Mais dans le cœur de nombreux GameurZ (moi compris), BGE était, est, et restera un grand jeu.
Malgré les années passées, le jeu semble ne pas avoir pris une ride (merci au lissage des textures). Avec un univers toujours aussi beau, j’ai redécouvert le monde d’Hyllis, ses habitants, sa faune et sa flore. J’ai repris le contrôle de la délicieuse Jade et suis reparti à l’aventure accompagné de mon oncle Pey’j (ce gros porc) et de l’agent double H.
O.C.P.L.B
La mémoire, étrange et insondable, nous permet de nous rappeler des expériences vécues, de ce que l’on a ressenti par exemple en regardant tel film ou joué à tel jeu, de temps à autre sans se souvenir exactement de détails. BGE m’avait énormément plu mais en dehors de quelques brides de souvenirs, je n’arrivais plus à savoir pourquoi. J’ai eu le grand bonheur de redécouvrir de nombreux éléments qui avaient été « effacés » de ma mémoire : le garage Mamago, les courses d’hovercraft (rythmées de musiques excellentes), le jeu de palet, le recensement des espèces… Je me suis enfin souvenu de ce qui m’avait vraiment charmé dans ce jeu : son univers cohérent, coloré et incroyable, comme sorti tout droit des contes ou des livres pour enfants, un monde emprunt de magie, un univers riche et généreux.
Oui j’aurais pu m’étendre sûrement beaucoup plus pour parler de Beyond Good & Evil et de tous ses aspects qui me rendent accro à lui. Mais la meilleure façon de juger reste celle de tester directement soi même le jeu. Et à 800 points Microsoft, c’est donné pour un jeu de cette qualité et ce serait criminel de passer à côté. Alors grouillez vous, morflenouille !
